StreamApi
Vous pouvez associer une grande variété de métadonnées à vos médias. Certaines sont destinées à l’organisation de votre médiathèque, aux associations entre médias, à la catégorisation, à la recherche… Voyons comment les utiliser au mieux.
Les mots-clés
Commençons par un faux-ami : vous pensez peut-être que le mot-clé est destiné à qualifier votre média pour qu’il soit trouvé par un moteur de recherche. Ce n’est pas sa fonction première. Le mot-clé sert surtout à associer des médias entre eux, par pertinence. Ce n’est pas forcément un mot qui sera recherché.
Par exemple, si vous avez créé une série de 3 vidéos, vous pourrez toutes leur associer le même mot-clé (par exemple « 3videos ») et lorsque vous en consulterez une, les deux autres vous seront proposées en lecture complémentaire si vous avez activé le défini « &related=1 » en paramétrage de votre lecteur. De même, dans une webTV le webservice « related » permettra de proposer ces « vidéos associées » ou « sur le même thème » ou « vous aimerez aussi… ».
Les mots-clés créent des relations de pertinence. Par exemple, vous pourrez avoir 10 vidéos qui comportent le mot « orange » dans leur titre. Une recherche simple vous les montrera toutes. Certaines feront référence au fruit, d’autres à la couleur. Lorsque vous en consulterez une, les mots-clés (« orange-le-fruit » ou « orange-la-couleur » par exemple) vous permettront de montrer les bonnes vidéos associées.
Naturellement, les mots-clés sont « cherchables » via un webservice, via l’API et dans la console Streamlike.
Les tags
Les tags – comme leur nom le suggère – sont des étiquettes que vous pourrez attacher à vos médias mais qui ne seront visibles que par des personnes autorisées : dans la console Streamlike ou via l’API.
Les tags peuvent servir à filtrer les contenus affichés dans la console ou dans une application.
Ce sont par exemple des informations techniques sur un média (« 16/9 », « N&B », « 1080p »), des références de catalogue, etc.
Les tags peuvent être organisés à l’intérieur de « vues » comportant plusieurs niveaux. On pourra par exemple créer un tag « Résolution » auquel aucun média ne sera associé, qui sera parent des tags « 270p », « 480p », « 720p » et « 1080p ».
Les tags ne sont pas indexés par le moteur de recherche de la console Streamlike mais on peut les sélectionner parmi les filtres d’affichage.
Les playlists
Certains les appellent des chaînes ou des catégories. Il s’agit d’ensembles de médias consultables sans authentification particulière, via un simple webservice. La seule différence entre un tag et une playlist est que le premier est « privé » alors que la seconde est « publique ».
La vocation d’une playlist est de constituer des groupes de médias qu’on pourra sélectionner et afficher dans une webTV (ou web radio).
Par exemple, la webtv de Streamlike propose les playlists « Films Streamlike », « Témoignages », « Exemples de réalisations », « Démos » et « Tutoriels ».
Comme les tags, les playlists peuvent être organisées dans des « vues ». Une webtv (publique) est une « vue » de « playlists ».
Sur un même compte, on peut créer plusieurs vues (webTVs) appelant des playlists différentes ou ayant des playlists en commun. Cela permet de créer des interfaces « front » différentes, avec des configurations de lecteurs personnalisées mais qui peuvent potentiellement proposer les mêmes contenus.
Les playlists ne sont pas indexées par le moteur de recherche de la console Streamlike mais on peut les sélectionner parmi les filtres d’affichage.
Les champs personnalisés
Les champs personnalisés sont destinés à recevoir des chaines de caractères. Ils peuvent être privés ou publics. S’ils sont publics, leurs valeurs sont indexées par le moteur de recherche et son webservice associé.
Par exemple, si l’on crée un champ personnalisé « Réalisateur » et qu’un média possède la valeur « Steven Spielberg » pour ce champ, il sera possible de retrouver le média en faisant une recherche globale de « Spielberg » ou en recherchant « Spielberg » à l’intérieur du champ « Réalisateur ».
Le nombre de champs personnalisés que l’on peut créer n’est pas limité. Streamlike peut donc s’apparenter à un DAM si l’on crée tous les champs habituels pour la gestion des droits audiovisuels par exemple.
